lundi 28 mars 2011

Le Marketing social dans les pays en voie de développement

Récemment, j'ai fait une présentation sur le marketing social dans les pays en voie de développement.
Il ressort de cet exposé que  le marketing social est considéré comme un outil supplémentaire pour aider à résoudre des problématiques sociaux comme le recyclage, la surpopulation, la malnutrition, les soins de santé, etc.
Dans la plupart des cas, ces problématiques sociaux ont un impact sur le développement économique.
Prenons un exemple: qui dit développement économique dit population en santé qui contribue au développement, qui dit population en santé dit prévention des maladies, qui dit prévention des maladies, dit vaccination des enfants contre des maladies comme le tétanos, la diphtérie, etc. Ainsi pour avoir une population en santé,  il faut commencer par sensibiliser les parents à la vaccination des enfants qui sont l'avenir d'un pays dans le sens où ce sont eux qui feront le pays de demain.

Mais il arrive bien souvent que les objectifs des gestionnaires de programmes ne collent pas avec les objectifs des bénéficiaires. En exemple, le gestionnaire de programme voudrait une adoption et un changement de comportement rapide alors que le bénéficiaire veut rapidement avoir accès à la récompense promise. Ainsi donc le bénéficiaire n'accepte pas volontairment de changer de comportement mais accepte de recevoir une récompense pour satisfaire l'attente du gestionnaire. Ce qui vient biaiser le travail du gestionnaire quant à l'évaluation finale du projet.

Au-délà de ces points cités ci-haut, il faut surtout tenir compte des réalités du pays en question, des croyances traditionnelles, ... pour réussir à changer des comportements.

De très belles campagnes sont organisées, dans les pays en voie de développement, mais reste à savoir quelle est la portée de ces campagnes et si elles atteignent les objectifs escomptés.

Je vous invite à visualiser cette vidéo ivoirienne "Sida dans la cité" réalisée dans le cadre d'une campagne contre le VIH-Sida.




Sida Dans La Cité - S3 - Movie - L'Histoire Des... par hiv-prg

mardi 22 mars 2011

La puissance d'un blogue

Cette semaine, j'ai lu une chronique sur le blogue que je voudrais vous partager.
Le blogue qui tue est une chronique de André Marois qui résume bien la puissance d'un blogue mais aussi ses inconvénients.

"André Marois, rédacteur publicitaire et auteur, aborde le pouvoir que peut procurer un blogue à son auteur et les inconvénients qui peuvent s'en suivre.

"Jérémie Norton n'attendait aucun colis, mais le nom sur le paquet était bien le sien, et c'était gratuit. Il remercia le coursier et ouvrit la boîte. À l'intérieur, quatre livres neufs: les prochains polars publiés par les éditions Patate Chaude. Jérémie sourit comme un enfant devant un iPad. C'était la première fois qu'un éditeur lui adressait un service de presse. Il prit cela comme une reconnaissance.
Depuis un an, Jérémie tenait le blogue "Plus noir, tu meurs", où il critiquait des romans policiers. Les commentaires s'additionnaient par dizaines en bas de chacun de ses billets. Jérémie n'avait aucune formation en journalisme, ni en littérature, mais il avait lu tout ce qui s'était publié dans le genre policier depuis 20 ans. Il maîtrisait bien son sujet, écrivait avec sincérité et dépassait les simples résumés insipides pour offrir des textes touchants.
Très vite, le compteur des fréquentations avait affiché une courbe ascendante pour atteindre un plateau de 1000 lecteurs par jour.
Le blogueur se demanda comment Patate Chaude avait obtenu son adresse Pourquoi ne pas l'avoir averti de cet envoi? Mais comme n'importe quel amateur de littérature, il était ravi de recevoir ainsi des bouquins gratuits. Il n'avait qu'à continuer comme avant, en ne parlant que de ce qu'il aimait.
Sur le chemin du restaurant où il travaillait, Jérémie fit une halte dans la grande librairie du coin. Il demanda au type qui officiait au rayon des polars si son blogue avait une quelconque incidence sur les ventes.
- Énorme. Quand "Plus noir, tu meurs" parle d'un thriller, sa durée de vie sur le cube à l'entrée est prolongée de six mois.

Jérémie rumina ce chiffre effrayant. Jamais il n'aurait imaginé détenir un tel pouvoir.
Une heure plus tard, le client devant lequel il déposa un hamburger le salua par son prénom.

 L'homme se présenta:
- Franck Gaillard, l'éditeur de Patate Chaude. Aurais-tu cinq minutes pour qu'on se parle?
Franck expliqua alors à Jérémie que Patate Chaude était au bord de la faillite. Les quatre livres envoyés risquaient d'être les derniers si leurs ventes n'affichaient pas des records. Et le blogue "Plus noir, tu meurs" était une clé pour ce succès. Jérémie devait soutenir Patate Chaude. L'éditeur repartit en laissant 100$ de pourboire. Le blogueur empocha le billet brun en pensant aux milliers de dollars qu'il avait laissés dans les caisses des librairies depuis sa jeunesse.
Il n'en revenait pas: voilà qu'on le soumettait à un chantage moral. Il n'avait pas envie de se sentir coupable de la mort d'une petite maison d'édition, mais il ne voulait pas non plus se voir imposer ses choix. Jérémie tenait son blogue par plaisir et passion, en toute liberté.
Le soir venu, Jérémie ouvrit le premier volume des éditions Patate Chaude: une sinistre bouse mal écrite. Il passa la nuit sur les trois autres titres. Aucun ne réchappait à la débâcle littéraire: intrigues mal ficelées, erreurs historiques, coquilles en surnombre, style affligeant. En d'autres circonstances, Jérémie se serait abstenu de parler de ces bouquins, mais le texto reçu à l'aube acheva de le convaincre. "As-tu aimé mon tip?" devenait du harcèlement. "Plus noir, tu meurs" n'était pas à vendre. Il rédigea un long billet dans lequel il torpillait avec minutie les quatre livres de Patate Chaude. Lorsqu'il cliqua sur la touche "Publier", il savait qu'il enfonçait en même temps le bouton faillite de l'éditeur.
S'il ne l'avait pas fait, c'est son propre blogue qui aurait perdu toute crédibilité."


La chronique est tirée de Infopresse.

mardi 8 mars 2011

Journée de la femme: Hommage

En cette journée du 8 mars, journée internationale de la femme, je voudrais rendre hommage à une amie.
Une amie qui est aussi une épouse et une mère de trois charmants enfants dont des jumelles.

Je voudrais te dire merci.
Merci d'être là quand j'ai besoin d'une oreille
Merci d'être là quand j'ai besoin d'un soutien
Merci d'être là quand j'ai besoin d'échanger sur notre belle profession: la communication
Merci d'être là quand j'ai besoin d'idées pour la cuisine. À ce propos, elle a même conçu un blogue d'idées à lunch avec une autre amie Bérényce. Chapeau les filles pour ce chef d'oeuvre.

À toi Line, je voudrais te dire Merci!

Toutes mes pensées vont également vers vous: Marie (ma mère), Germaine (ma belle-mère), Corinne, Fatou, Géraldine, Carine, Nathalie, Sophie, Anne-Marie, Julie, Marie-Andrée, Antoinette, Syntyche, Sylvie, Estelle, Gisèle, Diane, Rosalie, Annie, Annie-Rose, Céline, Sandrine, Monique, Mathilde, Zara, Pauline, Danielle, Reine, Denise, Blanche, Aida, Agnès, Léa, Bernadette, Jacqueline, Olive, Mélissa, Désirée, Lucie, Linda, Cenide, Hélène, Caroline, NyEva, Guylaine, Emmanuelle, Joëlle, Christine, Lysiane,... à vous toutes.